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mercredi 24 juin 2015

Carnet de Voyage : Nogaro

Comme beaucoup d'entre vous (ou pas, d'ailleurs) le savent, le weekend dernier, c'était le Hellfest. Comble de malchance, la veille du jour ou la Bête à Poils et moi devions prendre nos places (en décembre), le festival a affiché complet... Énervement, frustration, incompréhension, ... Le festival doit être victime de son succès. Dire qu'il y a deux ans, nous avions pu prendre nos places la veille pour le lendemain... Fin bref... 
La Bête à Poils et moi avons décidé qu'il fallait absolument qu'on parte pour le weekend. On avait besoin de changer d'air et d'action. Du coup, on est allé voir le Grand Prix de camions à Nogaro, dans le Gers.
Il faut savoir que la Bête à Poils est mécanicien poids lourd, passionné de mécanique, et avait envie de voir ces courses de camions depuis super longtemps, mais ne pouvait pas parce que c'était le même weekend que le Hellfest. 
C'était une compensation en quelque sorte. Une manière de ne pas passer le weekend chez nous à déprimer.


C'est comme ça que samedi matin on s'est retrouvé en direction du fin fond du Gers pour aller voir des camions tourner sur un circuit. 


Je ne saurais pas dire grand chose dessus. tout ce que je peux, c'est que c'est des camions (oui, comme ceux que tu croises sur la route) de 5T, qui font la course. Ils sont bloqués à 160kmh mais tournent aussi vite qu'une voiture de sport. Tout se joue sur les accélérations et les freinages, c'est vraiment impressionnant quand ils arrivent à 3 de front dans le virage devant toi. Et, aussi étonnant que ça puisse paraître, ils ne font pas tant de bruit que ça. Par contre, on ressent bien les vibrations quand il passent devant toi.




Je ne connaissais pas du tout ce monde là et j'ai vraiment passé un super weekend riche en découvertes.


 

mardi 9 juin 2015

Comment briser une vie.



C'est la fin du collège, le moment pour faire les vœux d'orientation. Moi je sais déjà ce que je veux faire. Chose assez rare, qui mérite d'être signalé. On me dit gentillement (en rigolant à moitié) que j'ai pas les notes, et que de toute manière j'y arriverai pas. On me propose le redoublement pour améliorer mes notes.
J'accepte. Ca m'a servi à rien.
C'est l'époque ou les problèmes commencent.
Finalement, je me retrouve dans un BEP qui ne m'intéresse nullement. Je m'ennuie profondément, et je ne vais jamais en cours. pourtant, cette fois ci, mes notes vont à peu près. A la fin de l'année, je demande ma réorientation. Refusé, motif : absentéisme, fallait s'y attendre...
Je poursuis ma deuxième année de BEP, toujours à m'ennuyer et à ne pas aller en cours. Quand il faut de nouveau faire les vœux d'orientation, je demande une nouvelle fois la filière que je voulais (ou au pire une première d'adaptation). Refusé, cette fois sans motif. On m'oblige à demander une filière qui n'a rien à voir.
J'obtiens mon BEP, avec en plus, de bonnes notes.
C'est parti pour le Bac Pro, Reproduction du schéma BEP, ennui, absentéisme et demande sans succès de réorientation. Sans efforts particuliers j'obtiens mon bac avec mention. Je me retrouve ensuite dans la jungle des études supérieurs.
Je me suis plantée. Deux fois de suite.
Sûrement parce que j'avais mal choisi les filières, n'ayant pas d'information et ne sachant pas trop quoi demander. J'étais dans l'optique du moins pire... Ca n'a rien donné.
Au final, je vogue de petit boulot en petit boulot sans avenir, sans conviction. A me demander quoi faire de ma vie.
Quand je parle de tout ça autour de moi, j'entends systématiquement "trouves toi du boulot et arrêtes de te plaindre". Si seulement c'était aussi simple.
La phrase qui revient souvent aussi c'est "t'as pas envie de travailler, si tu le voulais vraiment, t'aurais trouvé du travail".  Comment dire : "oui j'ai envie de travailler, mais pas faire de l'esclavagisme moderne, ni de me faire chier dans un boulot que je déteste"
En allant voir le Pôle Emploi et en leur demandant quoi faire de ma vie, on me propose des formations pour découvrir les métiers, pour m'aider à chercher un projet réaliste (selon leurs termes). On ne me propose que des boulots dans des bureaux ou je vais m'ennuyer comme un rat mort. En fait, on ne prend absolument pas le temps d'écouter ce que j'ai à dire ni de chercher à comprendre que je puisse vouloir faire autre chose que passer ma journée à jouer avec du papier.
C'est comme ça que je me retrouve de nouveau sur les bancs de la fac à essayer de faire quelque chose qui ne soit pas une perte totale de temps et d'énergie. Je me retrouve à essayer de me débrouiller toute seule pour trouver la réponse à la question "quoi faire maintenant ?". La fac semble la seule réponse que j'ai pu trouver à cette question pour l'instant.
Je me sens totalement perdu, sauf que je sais pas ou je vais. Donc je continue d'aller tout droit, tout en craignant les bifurcations. De toute façon, je ne peux rien faire d'autre, j'erre en tournant en rond, en attendant enfin la solution miracle qui m'aiderait à remettre de l'ordre dans ma vie.

Image issue d'une recherche Google

lundi 1 juin 2015

Défi du lundi : Objectifs de vie

Une fois n'est pas coutume, j'ai de nouveau eu envie de participer au défi du lundi de My Beauty, trouvant le thème vraiment intéressant. Cette semaine, elle nous proposait de parler de 10 objectifs de vie. Elle avait dit que ça pouvait être des projets très réalistes tout comme des projets complètements fous.
J'ai plusieurs projets en tête qui pourraient être considérés autant comme des rêves que des objectifs. J'ai décidé de présenter tout ça sous forme de liste, sans forcément d'ordre précis.



  • Avoir enfin ma propre voiture. A 2... ans, je n'ai toujours pas eu de voiture m'appartenant réellement. J'utilise les voitures de mes parents ou de mon mec.J'ai toujours considéré que la voiture était un objet de "grande personne" et n'en possédant pas, j'ai du mal à me sentir "grande personne". J'ai envie que ça finisse par changer.
  • Depuis que j'ai repris mes études, j'ai pour objectif d'aller jusqu'au Master. Au départ, je voulais faire un Master MEEF afin de trouver la sécurité de l'emploi avec l'Education Nationale. Depuis mon premier semestre, mes projets ont changés. Je veux toujours continuer jusqu'au Master, sauf que ce sera pour un Master de Création Littéraire.Plus je me renseigne dessus, plus je me dis que ce Master est fait pour moi. Donc, mon objectif serait de réussir à rentrer dans ce Master.
  • Puisqu'on a abordé le sujet des études, j'aimerai bien réussir à valider ma licence du premier coup. Pour mon deuxième semestre de première année, j'attends encore une note, mais ça semble bien partie pour la première année.
  • Trouver un vrai boulot. C'est pas que j'aime pas les extras et les petits boulots. Mais le manque d'argent et la précarité qui en découlent peuvent vraiment peser. Et sans vouloir être exigeante, j'aimerai bien que ce vrai boulot me plaise réellement.
  • Passer le permis moto et m'acheter une moto. Je veux une moto quasiment depuis que je sais ce que c'est et le permis depuis que je sais qu'il en faut un pour. Malheureusement, les finances ne sont jamais au rendez vous.
  • Continuer de me faire tatouer. Je me souviens encore de l'époque je ne voulais que deux ou trois tatouages discrets. Aujourd'hui je m'imagine clairement avec les deux bras de haut en bas et pleins d'autres ailleurs sur le corps.
  • Partir vivre à Paris. Pas que je n'aime pas Toulouse, mais surtout que j'ai envie de vivre ailleurs, voir autre chose. Et actuellement, j'ai l'impression de tourner en rond et j'ai envie d'avancer.
  • Faire le tour du monde. Un de mes rêves depuis aussi longtemps que je m'en souviennes. J'ai en tête pleins de destinations toutes aussi touristiques les unes que les autres, parfois assez clichés. J'espère avoir enfin une occasion de le faire.
  • Publier un best seller. Ouais bon, je sais, je peux toujours rêver. Surtout quand je relis certains articles qui sont à la limite de la lisibilité. Mais j'écris depuis toujours et j'aimerai un jour voir un de mes écrits publiés ou servir à quelque chose.
  • Réussir enfin à faire tomber les barrières qui m'empêchent d'avoir la vie que je veux. Celle que j'ai actuellement est à des années lumières de celle que j'ai vraiment envie d'avoir. Tourner en rond et sans issue, voilà comment on pourrait résumer ma vie depuis des années maintenant. Je veux avancer.

Je sais pas trop quoi dire pour conclure cet article, de toute manière y a pas grand chose à rajouter.
Bon lundi !

jeudi 14 mai 2015

Carnet de Voyage : Bugarach

Il y a quelque jours, un ami m'a appelé pour proposer que la Bête à Poils, Hatchi, et moi l'accompagnions en randonnée. L'ami avait en tête l'idée de grimper jusqu'au sommet du Pech de Bugarach.
Bugarach est devenu très connu car quand il y a eu la folie de fin du monde en 2012, la montagne était censée être le seul endroit à y survivre. Enfin, c'est ce que disaient beaucoup de croyances New Age.


Donc, le jour J, mon ami est venu nous chercher le matin et c'est parti pour environs 2h30 de route. Nous sommes arrivés au pied de la montagne vers midi et avons pique niqué sur place.
Ensuite, nous avons démarré la grimpette.

Panneau à l'aire de pique nique, cherches les fautes !

Panorama du haut de la montagne

Je ne sais pas trop comment raconter une randonnée. Enfin, j'en ai surtout retenu qu'on  a marché, Hatchi m'a beaucoup aidé à marcher plus vite et dans les endroits techniques de la descente, eu chaud et soif,  vu des paysages sublimes et qu'on est rentrés épuisés.
La Bête à Poils et moi pensons du coup à nous équiper un peu mieux pour partir plus souvent en randonnée avec Hatchi.
Mon ami, Hatchi et moi en haut de la montagne

Je te laisse sur quelques photos des paysages.







vendredi 10 avril 2015

L'heure du départ en weekend

J'en ai parlé plusieurs fois depuis le début de la semaine. Le weekend dernier, j'étais à Nîmes. Je partais qu'une nuit, donc j'avais pas besoin de prendre beaucoup d'affaires, mais comme c'était le weekend de Pâques et que la météo est souvent imprévisible à ce moment là, je me suis retrouvée à prendre plus de fringues que nécessaire et un sac à dos rempli à ras bord, comme j'avais voulu  anticiper autant le froid et la pluie que le soleil et le beau temps. J'avais également glissé dans mon sac à dos deux paires de chaussures. Une paire de talons (pour faire femme) et une paire de chaussures pour marcher.
Après avoir trouvé la place dans le sac à dos pour les bouquins, l'appareil photo, les chargeurs, les affaires de l'homme, ainsi que celles du chien, on va dire qu'il ne restait
plus beaucoup de place dans le sac à dos pour les produits de beauté.


Du coup, au moment de la préparation de la trousse de toilette, on mise sur le minimalisme. Je pars qu'une nuit, donc je pense que ma peau n'aura pas le temps de se plaindre du changement de routine. Donc, pour les soins, je prends vraiment le strict minimum. En fait, pour le coup je m'inspire de ma trousse de toilette du Hellfest, avec une eau micellaire (qui sert autant de nettoyant que de démaquillant), une lotion, une crème hydratante et un contour des yeux.

Du coup, niveau maquillage, on reste dans cet esprit de minimalisme avec les produits de base : Base de teint, fond de temps poudre, anti cerne, Primer Potion, crayon, mascara, liner. Mais comme j'ai quand même envie d'avoir de quoi me maquiller sous la main, j'y glisse ma Naked, idéale puisqu'elle permet de réaliser autant un maquillage très neutre que quelque chose d'un peu plus travaillé.
Et la Bête à Poils est censé l'ignorer, mais j'y glisse également quelques pigments...

mercredi 8 avril 2015

Look : La tenue de vadrouille

Je voulais présenter un peu mon style. j'ai pas exactement un style passe partout. Je mélange pas mal d'influences assez variées pour créer quelque chose d'assez particulier. J'ai quelques pièces phares et beaucoup de basiques. Ca fait quelques années que je ne porte plus du tout de pantalons. Actuellement, je suis tout le temps en jupe/robe/short.
Comme premier article look, j'ai eu envie de présenter la tenue que je portais lors de ma vadrouille du côté de Nîmes. C'est une tenue que je porte relativement souvent parce que je me sens bien dedans.


Au pieds, je porte ma paire de Doc Martens 9733 qui ont vraiment très bien vécu. D'ailleurs, il va falloir que je les remplace bientôt.
En bas, je porte un legging (à interdire si on écoute Cristina) (sans marque), et un short qui fut un pantalon (3 Suisses).
En haut, je porte quelque chose qui fait bustier et/ou jupe de la marque Desigual.  Ca faisait un moment que je cherchais un truc dans ce style, mais j'arrivais pas à trouver quelque chose qui me satisfasse réellement, et puis, ma belle sœur avait des fringues à donner. Ce truc en faisait parti, essayé, adopté.
Par dessus, je porte un gilet/shrug de chez Bonobo. C'est une pièce que je porte très souvent.
Enfin, sur la tête j'ai un bonnet avec une tête de mort. Je ne connais pas la marque, c'est quelque chose que mes amis m'avaient offert pour mon anniversaire.
 
 
 
Bon, j'espère que ce petit look t'a plu et que t'as envie d'en voir d'avantage. Dès demain, on en revient au thème principal de ce blog (la beauté).

mardi 7 avril 2015

Carnet de Voyage : Nîmes

C'était un dimanche après midi. La Bête à Poils et moi étions en train de comater devant "Recherche Appartement ou Maison". L'épisode montrait une famille à Nîmes. J'ai demandé à la Bête à Poils : "T'es déjà allé à Nîmes ?" Il m'a répondu qu'il était passé à côté sur l'autoroute. Je lui ai demandé : "C'est loin d'ici?" Il m'a répondu que c'était super loin, presque à la frontière italienne.
J'étais pas convaincue, j'ai regardé sur une carte. J'ai découvert que c'était qu'à 3h de route de chez nous. La Bête à Poils s'est souvenu qu'on avait une Smartbox à utiliser. Une heure plus tard, l'hôtel était réservé.

Et puis, samedi matin, on a fait le plein de la voiture, et on est partis direction Nîmes. 4h plus tard (en comptant les pauses) on arrive devant l'hôtel, on s'enregistre, on récupère les clés de la chambre et on décharge la voiture. Ensuite, on est allé visiter Uzès, le village où était situé l'hôtel.

Duché d'Uzès

Je pourrais raconter la visite du point de vue d'Hatchi, mais je suis pas sûre que cela soit très intéressant. Ca donnerait quelque chose dans la lignée de : "j'ai repéré une odeur qui me plaisait, j'ai levé la patte dessus, mes humains m'ont gardé en laisse et obligé à les suivre, j'ai passé beaucoup de temps couché à leurs pieds à des terrasses".
Donc, je vais raconter la visite de notre point de vue. Uzès est une très jolie petite ville assez ancienne. On s'est pas mal promené dans la vieille ville, ou il y a beaucoup de petites ruelles. On a vu pas mal de magasins "baba cool" et de galeries/marchands d'art.

On s'est arrêtés pour boire un coup et manger des gâteaux dans un salon de thé, à la limite du vieux Uzès. La Bête à Poils nous a commandé un clafoutis pomme romarin et un cheesecake à la bergamote. Ca a été une surprise, la pomme et le romarin allait super bien ensemble. Les deux gâteaux étaient vraiment excellents.

Le restaurant de l'hôtel était vraiment décevant. Comme on était clients Smartbox, on a avait droit au menu du jour, rien d'autre, et c'était vraiment pas bon. On avait déjà entendu dire que les clients Smartbox étaient moins bien traités que les clients normaux, samedi soir nous a confirmé que c'était le cas.

La place au centre d'Uzès

Samedi soir, après avoir mangé, nous sommes retournés nous promener dans Uzès. On s'est arrêté à une autre terrasse, cette fois ci sur la place au centre du vieux Uzès. J'ai bu un mojito presque aussi bon que là ou je les bois à Toulouse.

Le lendemain, on est allé visiter le Pont du Gard et Nîmes.
Ca faisait des années que je voulais voir le Pont du Gard et que j'en avais pas encore eu l'occasion. Je me suis vraiment régalée la bas. C'est vraiment un endroit magnifique. C'est juste dommage qu'on ait si vite fait le tour du lieu.




Ensuite, on a repris la route pour Nîmes. La ville moderne est vraiment très triste, moche, pas intéressante. Par contre, le centre historique est magnifique. On a vu, entre autres, les Arènes et la Maison Carrée, et l'esplanade entre les Arènes et la gare. Au niveau photos, on a fait un peu celles que tout le monde fait. A Nîmes, on a vraiment fait les touristes de base.
Le midi, on a mangé dans un genre de bistrot. Comme c'était le dimanche de Pâques, il y avait un menu de Pâques (avec une souris d'agneau (genre trop trop bon)). On a super bien mangé et la patronne était vraiment sympa !

Hatchi et moi à côté d'une série de fontaines en escalier dans le vieux Nîmes

Maintenant, quelques généralités : les paysages sont magnifiques, ça m'a vraiment fait du bien de voir autre chose, ça m'a vraiment changé les idées.
Avec ce changement de paysages, même la lumière a changé de couleur. De voir un soleil "jaune" sur les pierres nous a vraiment changé du soleil "rose" à Toulouse.
A toutes les terrasses ou on s'est arrêtés, les serveurs nous ont proposé de l'eau pour Hatchi. Il n'a pas bu systématiquement, mais geste nous a marqué.
On reste parfaitement conscients que c'était un geste commercial de leur part, mais ça fait quand même plaisir. D'ailleurs, à quasiment chaque endroit, ils nous ont donné l'eau dans de vraies gamelles.
On a eu beaucoup de chance au niveau de la météo, on a eu un grand soleil tout le weekend. Petit bémol par rapport au vent. Il y avait un vent à décorner un yak, mas c'était pas plus mal qu'il y en ait autant. On s'est dit qu'on aurait peut être eu trop chaud sans ce vent. 

vendredi 2 janvier 2015

Happy New Year 2015

C'est le moment des traditionnels voeux pour la nouvelle année et des bonnes résolutions.
Donc pour commencer, à tous ceux qui me lisent, bonne année, santé, bonheur, amour, et tout le reste.
Cette année, j'ai décidé de me fixer plus ou moins les mêmes résolutions que l'année dernière :

  • Arrêter de fumer et me mettre au sport. Et oui, malheureusement, je fume toujours. J'ai fortement réduit en journée, sans trop m'en rendre compte. Par contre, en soirée, j'enchaîne et c'est pas forcément mieux. Par rapport au sport, depuis que j'ai Hatchi, je marche quand même presque 3h par jour et je cours une fois par semaine. Mais ça suffit pas (du moins à mon goût).
  • Prendre encore plus soin de moi : toujours, et encore plus. Découvrir de nouveaux produits, modifier mes rituels soins, prendre plus de temps pour certaines choses, et transformer ma salle de bain en spa.
  • Blogguer plus et mieux. Apprendre à faire un design qui me convienne réellement dans un premier temps. J'ai toujours pas eu la patience de me pencher dessus mais j'ai vraiment envie d'y arriver un jour. La Purple Haze Week m'a démontré qu'il était possible de poster tous les jours ou quasiment.Il faudrait que j'arrive à me prendre par le col et que je prenne d'avantage de temps ici. 

Enfin, voilà quoi, des résolutions on ne peut plus classique... Est ce que je les tiendrai ? Rendez vous courant 2015 pour suivre l'évolution.
Je te laisse avec une photo prise lors de ma soirée du nouvel an.


vendredi 21 novembre 2014

Purple Haze Week volume 4 : La création


J'ai réalisé ce matin que j'avais oublié de mentionner Cari dans mon article de hier.Du coup, je vais me débrouiller pour la mentionner deux fois aujourd'hui. J'ai également réalisé que toutes les participantes (sauf moi) prenaient la peine de traduire leurs articles. Donc, aujourd'hui, je vais essayer d'en faire autant.

I realised this morning that I had forgotten to mention Cari in my post yesterday. So I'll try to mention her twice today. I also realised that all the participants (except me) were taking the time to translate their posts. So I will also take the time to do that today.

Aujourd'hui, je sors un peu de la beauté puisque je vous présente quelque chose que j'ai fait de mes dix doigts.
Je possède une grande quantité de perles de rocailles et j'adore essayer d'en faire des trucs. Mon problème principal est que je termine rarement parce que je manque de quoi faire les finitions. Mes perles peuvent aussi rester très longtemps dans leurs boîtes parce qu'il me manque du matériel pour pouvoir en faire vraiment ce que je veux.

Today, I won't be speaking about beauty as usual, I'm going to show you something I made myself with my own two hands. 
I have a large amount of seed beads and I love trying to make things with them. My main problem, is finishing, because I'm often mising what is needed to finish cleanly. My beads can spend a long time in their boxes because I'm lacking equipment to be able to really make what I want to with them.



Donc voilà, quelque chose de super simple à faire, mais qui n'en reste pas moins joli à regarder et qui fait son petit effet.

So there you have it, something that's very easy to do, but remains pretty to see, and has its' little effect.

vendredi 24 octobre 2014

Et toi, tu fais quoi dans la vie ?

Pas grand chose.
Dit comme ça, on pourrait penser que je n'ai aucune passion, aucun loisir. Pour moi, c'est pire, j'ai pas de boulot.
Enfin plus exactement, j'ai plusieurs petits boulots, mais rien de stable, de sérieux. Et c'est le cas depuis que je suis sortie de l'école.
Le problème des petits boulots, c'est qu'au final t'as pas de vrai métier, du coup t'as pas de réponse à apporter quand on te demande ce que tu fais.
Donc tu donnes la réponse en utilisant l'activité que tu fais le plus et tu essayes de détourner le plus vite possible la conversation.
Forcément, avec les petits boulots, on essaye de travailler comme on peut. Pas toujours déclarés, pas toujours très bien payés, parfois on reçoit juste un service en échange.

Mais, vient un moment ou les petits boulots ne conviennent plus, ne suffisent plus. Sauf que je ne sais toujours pas très bien ce que j'ai envie de faire de ma vie. Enfin si, je le sais mais, tous mes rêves avaient déjà étés brisés une première fois.
J'ai l'impression d'être dans une voie de stockage, à attendre que le feu passe au vert. A chaque fois que mon feu passe au vert, j'ai l'impression que le rouge revient dans la demi seconde qui suit. Parfois, je me sens comme si rien n'allait jamais avancer.

Plus le temps passe, plus l'estime de soi descend un peu plus dans les chaussettes. En ce moment, chez moi, elle doit être en train de s'enfuir par le trou que j'ai au niveau des orteils.
Sans parler de l'espoir qui s'est fait la malle depuis longtemps.

Je me retrouve à me demander si un jour, on voudra bien de moi. Tous mes projets se cassent la gueule. Parce qu'il y an encore plus dur que la précarité, le sentiment de rejet.



lundi 20 octobre 2014

Le défi du lundi : 10 petites choses qui m’énervent

En ce lundi, le défi du lundi proposé par My Beauty c'est de parler des choses qui nous énervent. Elle parlait d'une liste de dix, voilà les dix petites choses qui m’énervent.
Pour illustrer cet article, j'étais pas inspirée. Voilà une photo de Grumpy Cat.

On connaît tous Grumpy Cat !


  1. Etre reveillée à 5h du matin par mon chat qui réclame ses croquettes. (laisses moi dormir con de chat !).
  2. Devoir recommencer un maquillage parce que j'étais pas convaincue du résultat (d'ailleurs, c'est pour ça que j'en poste peu).
  3. Quand la Bête à Poils doit couper court à notre soirée en tête à tête parce qu'il doit partir en dépannage (ça fait des sous, mais on se voit pas).
  4. Les vieux qui roulent à deux à l'heure et qui me grillent la priorité dans les rond points (je suis pressée moi... et je suis prioritaire vu que j'étais déjà engagée).
  5. Les pubs et le blabla à la radio le matin (mais mettez de la musique, c'est plus tranquille quand on conduit avec la tête dans le cul).
  6. Les agressions gratuites sous forme de blagues (OK, je veux bien être spéciale, mais parfois il faut trouver un juste milieu).
  7. Manquer toujours d'un produit au moment ou je veux refaire ma couleur (la dernière fois, ça m'a coûté de l'argent chez le coiffeur).
  8. Me retrouver sans la voiture alors que j'aurais aimé l'avoir pour aller me balader (les aléas de n'avoir qu'une seule voiture en couple, vivement que j'en ai une à moi !)
  9. L'odeur du tabac froid quand je rentre chez moi (on essaye au maximum de fumer dehors mais, c'est pas toujours évident).
  10.  Me faire reprocher des choses que j'ai pas forcément directement provoqué (je veux bien avoir des torts de temps en temps, mais je suis pas toujours la seule et unique fautive).


Je pourrais encore citer énormément de choses, mais là c'est ce qui m'est venu le plus facilement à l'esprit dans l'immédiat.
Et toi, c'est quoi qui t'énerve  le plus ?

vendredi 22 août 2014

Hatchi, chien dangeureux, la suite.

Comme je l'expliquais dans cet article, si Hatchi est effectivement croisé Staff, il serait automatiquement chien de première catégorie. Sauf que la loi précise certains points et n'importe quel vétérinaire peut rédiger le certificat attestant que le chien n'est pas un chien à catégorie (certains vétérinaires refusent de rédiger le certificat et redirigent vers un spécialiste).


Hatchi a donc été expertisé, comment ça se passe ?
Le vétérinaire commence par un examen morphologique du chien. Dans un premier temps, il pèse le chien. Ensuite, il prend ses mesures, il commence par mesurer la hauteur au garrot, suivi du périmètre thoracique, la largeur des hanches et des épaules, la longueur du crâne et du museau.
Enfin, il prend des photos, et rédige le rapport.
Toutes les mensurations et les détails physiques sont définis par rapport à la loi, et il suffit d'un détail (hauteur au garrot, ou longueur du museau par rapport au crâne par exemple) pour que le chien ne soit pas catégorisable.

Le résultat pour Hatchi :
Hatchi est sociable avec les humains dans le cadre de l'examen et ne présente pas les caractéristiques d'un chien dangereux.
Le vétérinaire nous a dit qu'il avait plutôt la morphologie d'un Akita Inu mais qu'il pouvait très bien être un croisé d'un croisé. Il pense qu'avant de se retrouver à la SPA, Hatchi était un chien de SDF ou de teufeur. Il a confirmé d'une certaine façon l'intuition que la Bête à Poils et moi avions.


Quel intérêt de faire expertiser Hatchi ?
La bête à Poils et moi considérons que le fait de posséder un chien de catégorie, c'est un peu le principe du "nul n'est censé ignorer la loi".  C'est à dire quand on adopte un chien qui n'est pas pur race, qu'on ne sait pas trop avec quoi il a été croisé, et qu'on ne connait pas l'histoire du chien ,  on se doit de s'assurer au moins qu'il n'est pas de catégorie.
Savoir ce qu'il en est, c'est s'éviter des ennuis pour la suite.
Ceci dit, Hatchi peut quand même mordre (comme tous les chiens), mais on pense qu'on sera moins emmerdés que s'il avait été de catégorie sans qu'on le sache.

vendredi 27 juin 2014

Hellfest 2014, j'y étais.

Au départ, je pensais te parler du Hellfest. Sauf que j'ai pas pris de notes pendant le weekend et qu'on a fait très peu de photos. Du coup, je me suis dit que ça servait à rien.
Et puis, finalement, comme c'était juste trooooooop bien... Je vais en parler quand même.
 J'avais commencé à écrire un "live report" et puis ça j'ai changé d'avis. Donc, je vais me contenter d'un bilan, plus facile à lire et moins complet.


Tout d'abord, les aspects positifs :
- Une affiche en béton
- Une météo pas mal (ensoleillé)
- Une déco géniale
- Un flash mob sur le camping (un lecteur MP3 branché à une lampe/haut parleur pour la chanson "Born to be Alive")
- De bonnes rencontres
- Des concerts au top, et de bonnes découvertes !


Comme il faut aussi des points négatifs, les voilà :
- Trop de monde partout, de tous les côtés
- Trop de soleil et pas assez d'ombre
- Faire la queue... (pour aller aux toilettes, acheter à manger, rentrer sur le fest, partout)
- Le running order (tous les groupes que la Bête à Poils et moi voulions voir tombaient en même temps. On a du faire des choix, rater certains groupes et passer de longs (parfois trèèèèès longs) moments à attendre)
- La roue crevée du diable (qui servait à transporter nos bagages)
- La seule photo que la Bête à Poils ait fait de moi, de tout le fest, est complètement ratée (en même temps, c'est pas plus mal étant donné que j'ai la magnifique marque des lunettes de soleil).


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